Biobran MGN-3 - Aperçu

Aperçu global destiné au large public de faits relatifs au produit Biobran MGN-3 et à ses apports

Le produit Biobran MGN-3 a été développé au Japon en 1992 par M. Hiroaki Maeda, actuel directeur du centre de recherche et de développement de la société Daiwa Pharmaceutical Co., Ltd. à Tokio. Maeda s’est concentré sur la recherche d’une solution pour les gens et les organismes agricoles à base de phytonutriments naturels. À la fin des années 80 son attention s’est tournée sur les polysaccharides dont on savait qu’ils renforçaient la réponse immunitaire et il a réussi à développer un complément du système immunitaire – le AHCC®.

L’engagement de la société Daiwa Pharmaceutical, dirigée alors par M. Yasuo Ninomiya, a permis à Maeda de développer un nouveau complexe de polysaccharides à courte chaîne (avant tout sur la base d’arabinoxylane et autres hémicelluloses) auquel il a donné l’appellation générique de MGN-3. Cette appellation contient les initiales des noms de messieurs M. Maeda, G. Ghoneum et N. Ninomiya qui sont à l’origine de leur développement, le numéro 3 indiquant la troisième génération du produit (la plupart de la recherche immunologique du produit a été ensuite réalisée par Mamdooh Ghoneum, professeur d’immunologie à l’université californienne Drew University of Medicine and Science de Los Angeles). La société Daiwa a ensuite introduit sur le marché le complexe MGN-3 sous le nom commercial Biobran.

Q:  Qu’est-ce que le composé d’arabinoxylane Biobran MGN-3?

Il est bien documenté depuis de nombreuses années que les grandes molécules de certains polysaccharides – hydrates de carbone complexes tels que la fibre végétale par exemple – sont capables de stimuler le système immunitaire. De manière générale, d’après les recherches effectuées, la fibre est mise en rapport avec la réduction du niveau de cholestérol, l’amélioration du métabolisme du sucre et la réduction de la toxicité intestinale ; et le son du riz a de surcroît des propriétés antivirales alors que la fibre de certains types de champignons augmente de manière prouvée la réponse immunitaire. Par contre, comme nous le savons, la fibre végétale est le plus souvent indigeste pour l’organisme humain et ne fait que traverser le corps, et celui-ci ne profite donc pratiquement pas de ses avantages pour l’immunité. Or si on scinde les molécules longues des polysaccharides (de son de riz, concrètement) en plus petites appelées hémicelluloses et dont les plus puissantes sont précisément les composés d’arabinoxylane, non seulement ces avantages se multiplient-ils, mais encore et surtout deviennent-ils utilisables par le système immunitaire humain étant donné que, ainsi ajustés, ces composés ont alors une masse moléculaire suffisamment petite pour pouvoir être absorbés par l’intestin grêle et passer dans le circuit sanguin.

La société japonaise Daiwa Pharmaceutical est un producteur d’avant-garde de ce type de complément alimentaire hémicellulosique qui possède son propre brevet pour le processus unique de fission de la fibre deson de riz (en partie hydrolysée) à l’aide d’enzymes d’extrait de lentin comestible, champignon autrement connu sous le nom Shiitaké (lat. Lentinula edodes) et dont le résultat est un mélange naturel unique d’hémiceluloses dont la composante de base est le composé d’arabinoxylane, hémicellulose b-1,4-xylopyranose. (Et même si l’un des ingrédients utilisés dans la fabrication est le champignon Shiitaké, le produit final n’en contient aucune trace si bien que les personnes souffrant d’intolérance aux champignons ne doivent pas craindre de réaction). L’illustration ci-après présente la molécule de base de la fibre et sa forme scindée ou „réduite“ – en l’occurence l’hémicellulose appelée „arabinoxylane“.

Le mélange des composés résultant de ce processus a reçu l’appellation générique de Biobran MGN-3 – ou encore ce nom sous sa forme raccourcie de Biobran (le MGN-3 – appellation générique des produits – est le nom dont il est fait usage dans la recherche, tout comme celui générique de MRB qui représente les initiales de l’expression anglaise signifiant fibre modifiée de son de riz). On utilise aussi l’expression fibre d’arabinoxylane Biobrandu fait que l’arabinoxylane en est l’une de ses composantes principales. Étant un mélange de composantes naturelles (hémicelluloses) constitué de toute une palette de polysaccharides à chaîne courte, le Biobran est beaucoup plus acceptable par l’organisme que les substances simples (habituellement comprises dans les médicaments conventionnels). Cette large palette constituée de composantes naturelles est vraisemblablement ce qui explique que cette substance ne fait preuve d’aucune toxicité et ne possède aucun effet secondaire indésirable.

schema of BioBran

Système immunitaire

Le système immunitaire représente une force collective constituée d’un billion de globules blancs, de la moëlle osseuse, des anticorps, des cytokines et du thymus – toute une armée qui aide à dévoiler et détruire les millions de micro-organismes (bactéries, virus, parasites, champignons) qui pénètrent chaque jour dans notre corps et en même temps dans des milliers de nos cellules et qui les changent en des cellules génétiquement anormales ou cancéreuses. Le système immunitaire est considéré en réalité comme étant tout aussi complexe que le système nerveux ; il est capable non seulement de produire un anticorps spécifique pour chacun des millions de causeurs d’infections mais aussi de se mettre en mémoire pour les dizaines d’années qui suivent comment reproduire cet anticorps en cas de besoin.

Q: Quel est l’effet sur l’organisme ?

Le composé d’arabinoxylane Biobran MGN-3 est capable de stimuler un système immunitaire affaibli (cf. le texte à droite) de manière plus intensive et plus sûre que n’importe quelle autre substance naturelle ou synthétique. Le professeur en immunologie de l’Université de Médecine et des Sciences naturelles Charles R. Drew de Californie, M. Mamdooh Ghoneum, indique même que le Biobran est l’immunomodulateur le plus puissant qu’il n’ait jamais essayé dans sa pratique. Et bien que le mécanisme exact de l’effet ne soit pas connu, il semble que le produit agit par une augmentation de la production par le corps des cytokines naturelles telles que les interférons, les interleukines et facteurs de nécrose tumorale qui contribuent non seulement à la destruction des cellules défectueuses et des virus, mais aussi qui, en même temps, augmentent l’activité des lymphocytes – cellules B, cellules T et surtout cellules NK (naturelles tueuses), ceci ayant pour effet de relancer le système immunitaire. Les cellules B s’occupent de la production des anticorps et les cellules T et NK circulent dans toutle corps et détruisent les cellules défectueuses cancéreuses et les cellules attaquées par des virus ou des bactéries (une cellule NK est capable de tuer jusqu’à 27 cellules cancéreuses au cours de sa vie ; elle se colle dessus et leur injecte des granulés chimiques mortels qui liquident la cellule anormale en l’espace de 5 minutes).

Lorsque l’organisme est en stress ou touché par la maladie, il se peut que le système immunitaire devienne surchargé et que l’activité des cellules de protection se ralentisse. Si de surcroît un traitement médicamenteux, tel que la chimiothérapie en présence d’un cancer, vient s’y ajouter, l’activité du système immunitaire est encore plus inhibée. Un système immunitaire affaibli n’est plus en mesure ensuite de protéger l’organisme contre la propagation des infections et la prolifération des cellules cancéreuses.

S’agissant de la prévention des maladies et de leur traitement, il est donc extrêmement important d’optimiser le fonctionnement du système immunitaire, et avant tout l’activité des cellules NK qui représentent 15 % de globules blancs et sont considérées comme les „unités d’élite“ du système. Chaque augmentation de leur activité accroît potentiellement les chances et la vitesse du rétablissement de la santé. La recherche des immunomodulateurs se concentre donc sur ce seul paramètre – l’activité des cellules NK – facilement mesurable (en laboratoire par le test de séparation 51Cr) et nous offre une bonne image de la force globale du système immunitaire. La plupart des études consacrées au produit Biobran en gros comprenaient le contrôle de l’activité des cellules NK sachant qu’il a été démontré que le Biobran MGN-3 était capable d’accroître l’activité ralentie des cellules NK de 300 % et plus.

Par ailleurs le Biobran est capable d’augmenter l’activité réduite des cellules T de 250% et des cellules B de 200 % ; il agit de la même manière en ce qui concerne l’activité des autres facteurs du système immunitaire tels que le TNF (facteur de nécrose tumorale). Cet effet est, de plus, obtenu sans aucune toxicité accompagnatrice ni effet secondaire indésirable (à la différence des cytokines synthétiques actuellement appliquées par les cancérologues où, comme dans le cas de l’interleukine-2, il peut se développer une toxicité extrême).

Ci-dessous un graphe sur lequel on voit à quelle augmentation de l’activité des cellules NK on peut s’attendre déjà au bout de deux semaines de prise du complément alimentaire Biobran. L’activité des cellules NK est mesurée en introduisant dans une éprouvette le sang du patient en présence decellules cancéreuses vivantes ; quatre heures après, la part des cellules NK détruites par les cellules sanguines est mesurée à l’aide d’un marqueur radioactif. Malgré le fait que, dans le cadre de l’expérience, l’administration du produit a été arrêtée au bout de 2 semaines, l’activité des cellules NK est restée au niveau de celle du groupe de contrôle pendant encore plusieurs semaines.

In VIVO tests on human NK cell activity

La recherche a montré par ailleurs que si on introduit le Biobran dans un régime régulier d’alimentation, la stimulation du système immunitaire ne baisse pas forcément au fil du temps. Le fait que l’effet ne diminue pas – absence d’hyporéponse - tout au long de l’usage prolongé du produit, est un phénomène très inhabituel pour les produits immuno-modulaires et signifie que le Biobran fonctionne sans cesse y compris en cas d’administration prolongée du produit. L’activité des cellules NK atteint habituellement son summum après environ un ou deux mois de prise d’une forte dose du produit après laquelle on peut passer à un dosage moindre, celui d’entretien (cf. la partie concernant le dosage ci-dessous). Le temps nécessaire à l’atteinte du summum de l’activité des cellules chez le patient dépend de la dose journalière du produit.

Récemment il a été démontré que le Biobran possédait des effets anti-inflammatoires dans l’organisme. Le chef du service de développement de la société Daiwa Pharmaceuticals, le Dr. Endo, a décidé d’essayer lui-même le produit sur les douleurs aux mains causées par une arthrite rhumatoïde qui ont reculé. Il est admis qu’outre les problèmes évidents d’inflammation dans l’organisme (mots en –ite) tels que l’arthrite, ou encore les allergies, l’inflammation dans le corps augmente le taux de mutation des cellules. En le réduisant on pourrait donc minimiser le risque d’apparition du cancer.

Récemment il a été démontré que le Biobran possédait des effets anti-inflammatoires dans l’organisme. Le chef du service de développement de la société Daiwa Pharmaceuticals, le Dr. Endo, a décidé d’essayer lui-même le produit sur les douleurs aux mains causées par une arthrite rhumatoïde qui ont reculé. Il est admis qu’outre les problèmes évidents d’inflammation dans l’organisme (mots en –ite) tels que l’arthrite, ou encore les allergies, l’inflammation dans le corps augmente le taux de mutation des cellules. En le réduisant on pourrait donc minimiser le risque d’apparition du cancer. La capacité d’augmenter l’activité du système immunitaire et de réduire l’inflammation fait du Biobran un complément alimentaire important pour grand nombre de situations (nous attirons l’attention sur le fait que la recherche relative au Biobran a été réalisée essentiellement en rapport avec son influence sur le cancer ; la recherche doit continuer au sujet des infections virales et bactériennes et du diabète).

Soins généraux de santé — Par l’augmentation de l’activité des globules blancs, le Biobran MGN-3 contribue à renforcer le système immunitaire y compris chez les personnes en bonne santé. Son utilisation augmente l’immunité et la capacité de l’organisme à éliminer les infections et la prolifération des cellules „dans l’oeuf“ avant leur expansion. En améliorant le fonctionnement immunitaire le Biobran réussit à régénérer l’organisme des gens qui ne se sentent pas bien.

Cancer — Utilisé en combinaison avec un bon programme thérapeutique, le Biobran peut aider l’organisme à augmenter ses propres chances de survie en activant les globules blancs et en procédant à l’élimination des cellules défectueuses. Il parvient également à améliorer la qualité de vie des patients subissant une chimiothérapie ou un traitement hormonal, et ce grâce à sa capacité de modérer les effets secondaires des médicaments utilisés dans ce type de thérapies (souvent il s’agit de la diminution des nausées et de la perte de cheveux). Le plus grand bénéfice est enregistré dans les cas de cancer du sang tels que leucémie et myélome multiple ; de bons résultats sont obtenus également sur les autres types de cancer tels que lymphomes, cancers des ovaires, de la prostate, du sein (pour plus de résultats des études cf. clinical research). Il est important de souligner que le Biobran en soi n’est pas un médicament contre le cancer mais plutôt un complément utile du programme de thérapie oncologique se déroulant sous la surveillance d’un médecin qualifié. . Un bon traitement permet de réduire de manière importante le volume des tumeurs cancéreuses dans l’organisme (ce qu’on nomme le processus de démolition), sachant que le Biobran MGN-3 est en mesure d’aider le système immunitaire à maîtriser le reste (la majorité de la recherche orientée sur les effets de l’arabinoxylane contenu dans le produit Biobran sur le cancer est menée ensituation d’application concomitante de traitement conventionnel).

Infections virales telles que VIH, SIDA et hépatites B et C — Chez les patients souffrant de ces maladies le Biobran permet d’augmenter les paramètres immunologiques (tels que la production d’interféron-gamma, GOT, GPT et gamma- GPT). La recherche in vitro a démontré quele produit pouvait inhiber la réplique du VIH sans toxicité accompagnatrice. Il faut de nouveau souligner là que le Biobran en soi n’est pas un médicament contre ces maladies mais plutôt un complément utile du programme de thérapie adéquate définie par un médecin qualifié. ((Le Biobran ne fait preuve d’une réussite minimale que dans le cas du syndrôme de fatigue chronique. Cela témoigne plutôt du fait que cet état est probablement beaucoup plus compliqué qu’une quelconque infection purement virale).

Infections bactériennes telles que rhumes, états fiévreux et empoisonnement alimentaire — Dans ces cas le Biobran peut, à côté du traitement conventionnel, accélérer la guérison par le renforcement du système immunitaire (la plupart des preuves concernant la manière dont le Biobran contribue à vaincre les infections bactériennes sont orales mais dans l’ensemble ne vont pas contre ce que l’on peut attendre de l’activité d’un système immunitaire réveillé).

Diabète — Le Biobran parvient à augmenter la tolérance au glucose. En aucun cas on NE DOIT le considérer comme un substitut de l’insuline ou cesser de suivre le taux de sucre pendant son administration. Ce domaine exige de toute façon une recherche plus poussée.

États inflammatoires — Le Biobran réduit les réactions inflammatoires dans l’organisme, contribuant ainsi à l’apport d’un soulagement symptomatique à toute une série d’états inflammatoires, y compris l’arthrite. Il agit en inhibant l’infiltration du tissu enflammé par des leucocytes neutrophiles notamment. Cette capacité du produit n’a pas été testée cliniquement sur les humains jusqu’à présent. Toutefois les recherches récentes, à propos, indiquent qu’il existe une forte relation entre la réaction inflammatoire exagérée dans l’organisme et la croissance anormale des cellules.

Allergies — Le Biobran parvient, comme dans le cas de la diminution de la réponse inflammatoire, à réduire aussi les symptômes d’allergies. Il inhibe la dégranulation des granulocytes basophiles, des cellules qui sont les réservoirs naturels d’histamine à l’origine des manifestations allergiques.

Q: Ces données sont-elles fondées sur une recherche clinique ?

À la différence de la majorité des autres compléments naturels, l’arabinoxylane contenu dans le Biobran MGN-3 s’appuie sur une recherche clinique très prometteuse (cf. clinical research), comprenant une quantité d’études réalisées sur des hommes et dont beaucoup ont été publiées dans des magazines de recension médicaux. Une recherche a eu lieu au sein de l’Université Charles R. Drew qui fait partie de l’Université californienne de Los Angeles, aux États-Unis, dans certaines cliniques et hôpitaux en Europe ainsi que dans diverses universités et centres de recherches médicales au Japon, y compris l’Université de Chiba, l’Ecole supérieure pour femmes de Kobé, l’Université de Médecine Djitshi, l’Université Nippon, l’Université de Kyushu, l’Université de Nagoya, l’Université de Kyoto, l’Université de médecine de Toyama et l’Université de Médecine Kawasaki.

Dr.Mamdooh GhoneumLe chef des recherches sur leproduit Biobran est le Dr. Mamdooh Ghoneum, professeur à la Chaire d’immunologie de l’Université de Médecine et de Sciences naturelles Charles R. Drew aux États-Unis. Le Dr. Ghoneum, actuellement reconnu au niveau international dans le domaine de l’approche immunothérapeutique du traitement oncologique, a obtenu le titre PhD. en radio-immunologie à l’Université de Tokio et consacre depuis son travail à l’immunologie à l’Université californienne de Los Angeles. Il s’est employé pendant les 20 dernières années à étudier diverses substances capables d’améliorer le fonctionnement du système immunitaire et selon lui le Biobran MGN-3 est le complexe immunitaire le plus puissant qu’il ait jamais testé. Les résultats l’ont ahuri à tel point qu’à l’heure actuelle il consacre toute son attention scientifique au traitement à l’aide de ce composé.

En dépit du fait que la recherche de la réponse immumnologique au composé d’arabinoxylane contenue dansle produit Biobran a été positive en en présence de tout un éventail de maladies allant du cancer en passant par le diabète jusqu’aux infections virales telles que le SIDA et les hépatites B et C, il s’avère encore nécessaire d’approfondir les recherches cliniques in vivo qui contiendraient par ailleurs des études randomisées en double aveugle afin de déterminer exactement dans quelle mesure l’augmentation observée de la réponse immunitaire (notamment de l’activité des cellules NK) influence les statistiques de guérison et de survie dans le cas des maladies mentionnées.

Q: Le Biobran est-il toxique de quelque manière ou possède-t-il des effets secondaires ?

Non. Le composé d’arabinoxylane du Biobran est un produit naturel sans aucun effet secondaire indésirable et toxique. Ceci est confirmé par les analyses sanguines ainsi que par les examens de fonctionnement du foie et des reins des personnes auxquelles de hautes doses de ce produit ont été administrées sur une période de plusieurs mois. La seule contre-indication évidente réside dans le fait que, en tant qu’immunomodulateur ayant capacité de stimuler un système immunitaire affaibli, ce produit ne devrait pas être administré en combinaison avec des médicaments anti-immunitaires.

Bien que des enzymes de champignons entrent dans la composition du produit, il ne reste aucune trace de champignon dans le produit final, par conséquent il peut être prescrit chez les patients souffrant d’intolérance aux champignons sans craindre une réaction allergique. Le composé est approuvé par l’Association japonaise des aliments et alimentations sains et remplit également toutes les normes strictes d’évaluation conformément aux ordonnances du Ministère japonaisde la santé.

Q:  Quelle est la dose de Biobran à prendre et quand devrait-on le prendre ?

Etant donné que, en présence du Biobran, l’organisme ne crée pas de résistance en cas d’utilisation prolognée dans le temps, ce complément alimentaire peut être administré en toute sécurité et avec efficacité sur une longue période sans besoin d’augmenter progressivement sa dose, contrairement aux autres immunomodulateurs.

Pendant la phase de recherche, le dosage du Biobran se faisait le plus souvent de 30 à 45 mg/kg/jour en plusieurs doses prises après le repas suivies d’une dose d’entretien de15 mg/kg/jour. Pour le maintien de la bonne santé il est recommandé de prendre au moins 500 mg par jour (s’il n’est pas administré en même temps que la levure) ; dans le cas d’un soutien plus sérieux de l’immunité (cas d’arthrite, de diabète, d’hépatite B, d’hépatite C et autres infections par exemple) on recommande la prise de 1000 mg par jour ; pour les cas graves dans lesquels le système immunitaire est extrêmement affaibli (cancer ou SIDA), il est recommandé d’appliquer un dosage de 3 g par jour durant 1 mois, puis de 1g par jour.

Le Biobran devrait être utilisé toujours après le repas (idéalement 30 minutes après) sachant que de plus grandes doses devraient être réparties en trois fois – après le petit- déjeuner, après le déjeuner et après le souper.Si le patient utilisant le produit est très malade, il peut conserver le dosage de 3 g par jour sur une période plus longue.

Exception faite des cas où le Biobran est utilisé pour le maintien en bonne santé, nous recommandons aux patients d’informer toujours leur médecin traitant de son utilisation afin que ce dernier puisse incorporer le produit à son programme thérapeutique.

Études scientifiques sur l’efficacité etle mécanisme de l’effet du produit Biobran MGN-3

Aperçu scientifique exhaustif concernant le produit d’arabinoxylane Biobran MGN-3. Auteur: Hiroaki Maeda (Élaboré par : Chris Gutch PhD), sept. 2003

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BioBran - Rice Bran Arabinoxylan Compound

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1. INTRODUCTION

La fibre et les autres composantes indigestes des aliments sont considérées comme des substances ayant une forte influence sur la santé de l’homme, ayant un effet bénéfique sur le maintien de l’homéostase et remplissant dans le corps des tâches thérapeutiques différentes de celles qu’assurent les nutriments de base. Leur activité principale consiste à améliorer le métabolisme des graisses, le métabolisme des sucres et à améliorer le milieu intestinal, ainsi que d’inhiber la toxicité des substances dangereuses contenues dans l’alimentation.

La fibre que l’on trouve dans nos aliments provient avant tout des plantes, des algues et des micro-organismes, et une autre partie est créée par les polymères des sucres - les polysaccharides. De nombreuses études font état de l’activité immunostimulante des polysaccharides des aliments et des micro-organismes de fermentation, ce qui a conduit à l’introduction d’une notion à part pour ces substances – les modificateurs de la réponse biologique (en anglais BRM).En font partie les polysaccharides tels que le zymosane (β-1-3 glucane), composant constructeur des parois cellulaires des levures de bière, la chitine, ou encorele composant constructeur des parois cellulaires des levures de boulanger (α-1-6-mannan) et les éléments de construction des parois cellulaires de champignons tels que le Shiitaké (lentin comestible), le Suehirotaké (schizophylle commun) et leKawarataké (Polypore versicolore) (contenant duβ-1-3 glucane), etc. Certaines de ces substances sont utilisées dans le traitement du cancer comme immunostimulateurs administrés le plus souvent sous forme de piqûres intraveineuses étant donné leur masse moléculaire relativement élevée (0,5-1 millions de daltons) qui leurest caractéristique et qui, si administrés par voie orale, en restreint les effets.

Au vu des informations scientifiques acquises au sujet des polysaccharides et de leurs potentiels immunostimulants, le Biobran MGN-3 (Biobran) a été développé de façon ciblée comme un complément alimentaire immunostimulateur capable d’agir lorsqu’il est administré par voie orale.

2. DÉVELOPPEMENT DU DÉRIVÉ D’ARABINOXYLANE DE SON DE RIZ (Biobran MGN-3)

La fibre du son de riz est formée à partir de la cellulose, la lignine et l’hémicellulose. L’hémicellulose est partagée encore entre l’hémicellulose A insoluble à haut poids moléculaire et l’hémicellulose B soluble à bas poids moléculaire. C’est un hétéroglycane de construction très ramifiée et compliquée composée de sucres, en particulier l’arabinose et le xylose et autres composants tels que le ramose, le galactose, le mannose, le glucose et l’acide uronique, etc.. L’hémicellulose B est composée d’une molécule relativement petite avec un grade de polymérisation d’environ 200 grâce auquel l’intestin grêle parvient à l’absorber après administration par voie orale.

La décomposition partielle de l’hémicellulose B a été atteinte au moyen d’enzymes capables de scinder les hydrates de carbone, le résultat en étant des dérivés à fort effet immunostimulant avant tout sur les cellules naturelles tueuses (cellules NK), de structure chimique comme celle présentée sur la Fig. n° 1 ci-dessous.

Chemical structure of BioBran MGN-3 Arabinoxylan

Dans la production industrielle on utilise comme enzyme pour la fabrication de ces dérivés un complexe de carbohydrase comprenant de la α-, β-glucosidase, de la α-, β- galactosidase, de la β-1-4 glucosidase et de la β-1-3glucosidase produite en dehors de l’organisme du champignon Shiitaké.

3.EFFET PHYSIOLOGIQUE DU DÉRIVÉ D’ARABINOXYLANE DE SON DE RIZ (Biobran)

3.1 ImmunoRÉGULATION

(a) Augmentation de l’activité des cellules NK humaines à l’aide de l’arabinoxylane modifié de son de riz (Biobran MGN-3)

1. 1. Test in vitro
Des cellules NK de rat ont été mises en incubation avec des cellules-cibles cancéreuses K-562 en présence de Biobran MGN-3 ; la quantité de cellules K-562 a été ensuite mesurée au moyen du test au 51Cr-EDTA. Une élévation de la concentration de cellules décomposées a été constatée proportionnellement la concentration de Biobran MGN-3 (de 25 µg/mlet de 100 µg/ml) utilisée, ceci confirmant que l’augmentation de l’activité des cellules NK a été provoquée par l’effet du produit Biobran MGN-3.

Concentration of MGN-3 in vitro

2. Test in vivo (sur rats)
Du Biobran MGN-3 a été administré à des rats Sprague-Dawley et l’activité des cellules NK a été mesurée deux semaines après. Les rats ont été répartis en trois groupes de 5 individus, à chaque groupe correspondait une dose du produit de concentration respective 0,5 mg, 5 mg, et 50 mg/kg/par jour. L’activité des cellules NK a enregistré des variations en fonction de la concentration de la dose de Biobran MGN-3administrée. Par rapport au groupe de contrôle, les groupes ayant reçu des doses de 0,5 mg, 5 mg et 5 mg ont fait apparaître une augmentation de l’activité des cellules tueuses, à savoir respectivement de 119 %, 130 % et 142 %. Dans le groupe ayant reçu une dose de 50 mg, l’activité des cellules tueuses a monté à 132 % par rapport au groupe de contrôle déjà trois jours après le début de l’administration du produit. La croissance de l’activité des cellules NK causée par le Biobran MGN-3 peut être portée au compte de la force destructrice des cellules NK, mais a dépendu en même temps aussi du nombre total de cellules NK. On a observé une différence d’effet entre les mâles et les femelles, celui-ci étant plus important chez les femelles (Fig. 3).

Concentration of MGN-3 in vivo

3. Effet sur les hommes
Dans le cadre des essais des effets du Biobran MGN-3 sur les hommes, 24 individus en bonne santé (15 femmes et 9 hommes d’une moyenne d’âge de 34 ans) ont pris le produit sur une durée ininterrompue de 60 jours puis on a observé chez eux l’activité des cellules NK. Les participants à l’expérience ont été répartis en 3 groupes de 8 personnes prenant des doses journalières de 15 mg/kg, de 30 mg/kg, et de 45 mg/kg de masse corporelle. Un prélèvement de sang (20 ml) a été effectué sur chacun des participants avant la prise du produit, une semaine après le début de la prise du produit, un mois après, deux mois après (à l’issue de la prise du produit) et un mois après la fin de la prise du produit pour mesurer l’activité des cellules NK. Chez les groupes ayant pris les doses de 30 mg et de 45 mg, l’activité des cellules NK a augmentédu double au bout d’une semaine d’utilisation du produit, et du triple deux mois après. Dans le groupe ayant pris la dose de 15 mg, l’activité a rapidement augmenté au bout d’un mois d’utilisation et a atteint, après deux mois, presque le même niveau que dans les groupes aux doses de 30 mg et de 45 mg. Un mois après la fin de la prise du produit, l’activité des cellules NK est revenue au niveau d’avant le début des essais (Fig. 4). Ces résultats indiquent que la prise quotidienne d’une dose de 15 – 45 mg/kg de produit Biobran MGN-3 a un réel impact sur l’activité des cellules NK humaines.

Figure 4: Time and dosage dependence of natural killer (NK) cell activation by Biobran MGN-3 against K562 tumour cells

<Fig 4: Activation des cellules NK par le Biobran MGN-3en fonction du temps et de la dose en présence de cellules cancéreuses K562
…_.._.._.._ = 45mg/kg par jour;
…………=30mg/kg par jour;
_______=15mg/kg par jour

4. 4. Mécanisme de l’effet du produit Biobran MGN-3 sur les cellules NK
Les deux expériences in vitro et in vivo ont confirmé que la quantité des granules cytotoxiques dans les cellules NK stimulées par le Biobran MGN-3 augmentaient. On a aussi examiné la capacité de ces cellules de se lier aux cellules-cibles. Dans le test, les cellules NK de l’individu qui prenait une dose quotidienne de 45 mg/kg de Biobran MGN-3 pendant 30 jours ont été mises en incubation avec des cellules-cibles K-562, puis leur capacité de se lier aux cellules-cibles a été mesurée. Au bout d’une heure d’incubation commune à une température de 4°C, on a mesuré 200 cellules NK et on a calculé le taux de création de liaisons avec les cellules K-562. Après la prise de Biobran MGN-3, on a constaté chez l’individu un taux de création de liaisons des cellules NK avec les cellules-cibles (K-562) bien plus élevé qu’avant l’utilisation du produit, et ce de 38,5 % contre 9,4 %. La figure 6 représente une photographie de ces liaisons.

Figure 5: Percentage of conjugate formation between natural killer (NK) cells and K562 target cells. Figure 5: Taux de formation des liaisons entre les cellules naturelles tueuses (cellules NK) et les cellules-cibles K562. Légende : % de liaisons>Avant utilisation>Après utilisation

Figure 6: Natural killer (NK) effector-tumour targets conjugate formation. Fig 6: Formations mortelles de cellules NK et de cellules–cibles cancéreuses.

Ghoneum M. (Université Ch. R. Drew,Etats-Unis):INT. IMMUNO THERAPY XIV (2) p.89-99, 1998

(b) Effet in vitro du produit Biobran MGN-3 sur l’activité des cellules du groupe de macrophages

L’effet du Biobran MGN-3 sur les cellules du groupe de macrophages, sur l’induction de la production de médiateurs pharmacologiques, concrètement de TNF-a, IL-6 et NO, a été examiné. Les macrophages ont été mis en incubation avec le Biobran MGN-3 sous différentes concentrations (de 1 à 100 µg/ml) et les surnageants ont été ensuite testés à la présence des médiateurs mentionnés. Le TNF-a a été analysé d’après sa toxicité envers le L929, l’IL-6 d’après la cytose B13.19 et le NO colorimétriquement d’après la réaction au réactif de Griess. On a utilisé le lipopolysaccharide (LPS) comme contrôle positif.

  • En utilisant la lignée cellulaire de macrophages RAW264.7 de souris, le Biobran MGN-3 a montré un effet important sur les trois médiateurs indiqués dès les concentrations supérieures à 10 µg/ml, comme le LPS.
  • Utilisation des macrophages péritonéaux de souris (C3H/He) : l’effet du Biobran MGN-3 sur la sécrétion de macrophages de la cavité péritonéale chez la souris normale est indiqué sur la Fig. 7. Le Biobran MGN-3 a de nouveau montré la force de son effet dans le cas de concentrations supérieures à 10 µg/ml.
  • Lignée cellulaire des macrophages humains U937 :le MGN-3 a induit une forte activité que confirment les niveaux enregistrés de cytokines TNF-a et IL-6 produits qui étaient équivalents à celui de LPS à savoir 100 µg/ml.

Les résultats montrent que le Biobran MGN-3 possède un fort potentiel d’activation des macrophages normaux des souris et des hommes. Il découle de cette étude que les concentrations sont actives quand supérieures à 10 µg/ml.

Figure 7: Murine peritoneal macrophages (C3H/He mice) Figure 7: Matsuura M. (École de Médecine de Djitshi, JAPON) : Rapport de l’École de Médecine de Djitshi

(c) Immunostimulation et prévention du cancer

De nombreuses études ont démontré qu’il existaitun risque accru de cancer chez les personnes exposées à l’influence de divers produits chimiquessur leur lieu de travail. L’une de ces études s’est donné pour objectif d’examiner le changement de l’immunité dans le cas de l’influence de produits chimiques et comment l’organisme peut mieux réagir à la toxicité chimique à l’aide du produit Biobran MGN-3.

Ont participé à cette étude onze personnes soumises à l’infuence de produits chimiques au travail. Celles-ci souffraient de dysfonctionnement du système immunitaire qui se manifestait par de bas niveaux d’activité des cellules NK (10,2±4,2unités lytiques), par une réponse blastogène des lymphocytes aux mitogènes des cellules T (PHA, 39060±12517cpm a COMA, 36224±11922cpm) et aux mitogènes des cellules B (PWM, 16550±6330cpm) par rapport aux réponses dansle groupe de contrôle. Une dose quotidienne de 15mg/kg de Biobran MGN-3 était donnée aux participants à l’étude sur une période de quatre mois. Le traitement au Biobran a multiplié par 4 l’activité des cellules NK au bout de deux mois, et multiplié par 7 au bout de quatre mois, etle fonctionnement des cellulesT et B a augmenté de 130, voire 150 % par rapport aux valeurs d’origine.

Ghoneum M. (Université Ch. R. Drew, États-Unis) : Résumé du Recueil de conférence du 7e Congrès international des Technologies biomédicales orientées contre le vieillissement, 1999

(d) Production stimulée de TNF-α et IF-γ dans les lymphocytes de sang périphérique humain par l’intermédiaire de l’arabinoxylane modifié de son de riz contenu dans le Biobran MGN-3.

On a étudié le mécanisme par lequel le Biobran MGN-3 augmente l’activité cytotoxique des cellules NK. L’effet du produit a été testé sur l’intensité de sécrétion du facteur -α, (TNF-α) et de l’interféron-γ (IFN-γ) provoquant la nécrose tumorale ainsi que sur l’expression des récepteurs-clés à la surface des cellules.

Les lymphocytes du sang périphérique ont été mis en incubation avec le produit Biobran MGN-3 de concentrations 0,1 et 1 mg/ml et les solutions ont été soumises au test ELISA. Les résultats ont montré que le Biobran MGN-3 est un inducteur potentiel de TNF-α, l’effet variant selon le dosage. Les concentrations de Biobran MGN-3 de0,1 et 1 mg/ml ont mutiplié la production de TNF-α respectivement de 22,8 et 47,1 fois. Le Biobran MGN-3 a augmenté également la production de IFN-γ, même si cette augmentation a été inférieure à celle enregistrée du TNF-α. En ce qui concerne les récepteurs-clés de la surface des cellules, le Biobran MGN-3 a accru l’expression de l’antigène d’activation précoceCD69au bout de 16 heures d‘incubation. Par ailleurs, à l’issue de l’incubation avec le Biobran MGN-3, on a observé une régulation positive du récepteur d’interleukine-2, de la molécule CD25 et de la molécule d’adhésion intercellulaire ICAM-1 (CD54). L’incubation des cellules NK hautement purifiées avec leMGN-3,également, a eu pour conséquence une augmentation des niveaux de sécrétion du TNF-α et de l’IFN-γ combiné avec l’amélioration du fonctionnement cytotoxique des cellules NK. De plus, l’addition du Biobran MGN-3 aux cellules NK activées par l’interleukine-2 a eu pour conséquence une induction synergique de la sécrétion de TNF-α et de IFN-γ.

Ghoneum M. (Université Ch. R. Drew, États-Unis), Jewett A. (UCLA, États-Unis) : Cancer Detection and Prevention (Détection et prévention du cancer) Tôme 24/Numéro 4, 2000

(e) Effet de l’arabinoxylane modifié de son de riz sur l’activité des cellules NK des lymphocytes humains de sang périphérique

Les effets du produit Biobran MGN-3 et de ses fractions moléculaires sur l’activité des cellules NK ont été examinés. Des fractions de haut poids moléculaire (10 – 50 kDa) obtenues par filtration sur gel au Sephadex G-25 et G-75 ont été ajoutées aux lymphocytes humains de sang périphérique. L’activité des cellules NK a été mesurée après 3 jours d’incubation. Des cellules marquées fluorescentes de la lignée cellulaire K-562 ont été utilisées comme cellules-cibles et l’activité des cellules NK a été établie par la méthode fluorescente Tere Scan. Une expérience identique a été réalisée en présence d’IL-2.

Les essais n’ont pas détecté de différences essentielles dans l’activation des cellules NK, que ce soit avec le produit Biobran MGN-3 ou avec ses fractions de poids moléculaire plus élevé. En revanche, comparativement à la solution où il n’y avait que de l’IL-2, on a observé une augmentation de l’activité des cellules NK dans les solutions où on avait ajouté, outre l’interleukine-2, également du Biobran MGN-3 ou de ses fractions. Ceci indique que le Biobran MGN-3 active les cellules NK en présence de l’IL-2 et qu’une telle activité se produit également en présence deses fractions de poids moléculaire plus élevé.

Ueda Y., Shimomura C. (Université de Chiba, JAPON) : Résumé de la rencontre annuelle de la Société japonaise pour les biosciences, les biotechnologies et l’agrochimie 2002

3.2. Effets antiviraux

Effets antiviraux du Biobran MGN-3 contre les VIH in vitro

On a d’abord évalué l’effet antiviral du produit Biobran MGN-3 contre la production de l’antigène p24 du VIH-1 in vitro. Les cellules mononucléaires obtenues auprès de trois individus en bonne santé ont été incubées avec une souche SF de VIH-1 à température de 37°C pendant une heure en présence du Biobran MGN-3 aux concentrations allant de 0 à 100 µg/ml. En fonction de la concentration, le Biobran MGN-3 a inhibé la création des formations syncytiales, sachant que le taux maximal de cette inhibition était de 75 % à la concentration de 100/ml) (Tableau n° 1).

Figure 8: BioBran MGN-3 Concentration (mcg/ml)  
Tableau n° 1

Inhibition par le produit Biobran des formations syncytiales
Dose de Biobran(μg/ml) Formations syncytiales(SF)
Nombre de SF % d’inhibition
0
12.5
25
50
100
42.0±8
25.8±7
21.5±5
15.8±4
10.5±3
00.0
38.5
50.0
62.5
75.0
Fig. 8 Légende : % d’inhibition (antigène p24, pg/ml) >Concentration du produit BioBran MGN-3 (µg/ml)  

Ghoneum M. (Université Ch. R. Drew, États-Unis):Biochemical and Biophysical Research Communications (Communications de la recherche biophysique et biochimique) 243, (1998)

3.3. Effet anticancéreux

(a) Étude de l’effet des composantes de l’arabinoxylane modifié de son de riz sur l’inhibition de la croissance des cellules cancéreuses de lignées différentes

Dans cette étude, on a examiné l’effet de l’arabinoxylane modifié de son de riz contenu dans le Biobran MGN-3 sur les cellules cancéreuses de lignées différentes telles que HL60, K562 et HLE ainsi que sur l’induction potentielle de la différenciation des lignées HL60 et K562.Du Biobran MGN-3 a été ajouté à la culture de lignées cellulaires. Au bout de 3 jours d’incubation, le nombre des cellules survivantes sur toutes les lignées a diminué proportionnellement à la quantité de produit Biobran MGN-3.

Après précipitation à l’éthanol le précipité a été mélangé à de l’eau distillée, le supernageant ainsi obenu a été fractionné à l’aide de la colonne Sephadex G-25 en 3 fractions (A, B, C) et celles-ci ont été ajoutées aux cultures de lignées cellulaires. Des effets d’inhibition sur la croissance ont été observés, sur la fraction C, les lignes HL60 et K562 ainsi que sur les fractions B et C, et la lignée HLE. De plus, la coloration au Giemsa et l’estérase non spécifique ont fait apparaître une induction potentielle de différenciation sur les lignées HL60 et K562. Ces résultats indiquent que le Biobran MGN-3 contient des composantes qui montrent une inhibition de la croissance des cellules cancéreuses et une induction potentielle de la différenciation des lignées HL60 et K562.

Masada M. (Université de Chiba, JAPON) : Résumé de la rencontre annuelle de la Société japonaise pour les biosciences, les biotechnologies et l’agrochimie 2002

(b) Influence du produit Biobran MGN-3 sur la croissance des cellules cancéreuses

On a examiné l’influence directe du Biobran MGN-3 sur la croissance des cellules cancéreuses de la peau et la production de cytokine. En comparaison avec le groupe de contrôle des cellules du carcinome squameux de la lignée cellulaire SCC13 cultivée dans du médium MEM où la croissance des cellules a continué, l’incubation des cellules de cette lignée [SCC13] avec du Biobran MGN-3 a stoppé la croissance des cellules cancéreuses (on a observé 30 % de cellules en moins au bout de 48 heures et 50 % de moins après 72 heures de cultivation par rapport à la culture de contrôle indiquée).

Les analyses réalisées par cytométrie en flux ont montré qu’après 16 heures d’incubation des cellules SCC13 avec du Biobran MGN-3, une multiplication par cinq des niveaux intracellulaires de l’interleukine 10 [IL-10] a eu lieu sans qu’il y ait eu de modification évidente du contenu de l’interféron-γ [INF-γ]. Les tests ELISA du médium de culture avec les cellules SCC13 ont montré des niveaux 8 fois supérieurs d’IL-10 et 3 fois supérieurs d’IL-12. On n’a enregistré qu’un petit changement au niveau de la concentration d’INF-γ. En outre, on a évalué également l’influence du produit Biobran MGN-3 sur d’autres lignées cellulaires telles que des cellules normales et cancéreuses du sein et des cellules cancéreuses de la prostate.

Ces observatioons indiquent que le Biobran MGN-3 agit non seulement par une amélioration de l’immunité de l’organisme hôte mais aussi par une influence directe sur la croissance des cellules cancéreuses et la production des cytokines. En même temps, il se peut que derrrière ces observations se cache un mécanisme jusque-là inconnu d’effet qui expliquerait le succès clinique remarquable et l’apport imposant du traitement au Biobran MGN-3 noté par l’auteur au cours des 4 dernières années.

Ghoneum M. (Université Ch. R. Drew, États-Unis) : Résumé du Recueil de conférence du 8e Congrès international sur les Technologies biomédicales orientées contre le vieillissement, 2000

3.4. Effet complémentaire lors du traitement du cancer

(a) L’évaluation de la dépendance de l’activité des cellules NK et du taux de survie des patients souffrant de différents types de cancers en présence de l’application de protocoles de thérapie multi-immunologiques

L’étude présente s’est fixé pour but d’établir si l’administration du produit Biobran MGN-3 a pu avoir pour effet une prolongation de la survie et une amélioration de la qualité de vie pendant la période de survie, et ce sur un échantillon de 205 patients souffrant de cancers en IIe et IVe stades de maladie, après intervention chirurgicale. Des patients hospitalisés à la clinique de chirurgie Sano au Japon ont participé à cette étude. Ils ont été soignés au moyen de médicaments alternatifs complémentaires et de médicaments anticancéreux conventionnels aux faibles effets indésirables.

Les 205 patients hospitalisés pendant 6 mois ont été divisés en deux groupes : 109 patients du groupe témoin ont été soignés par une thérapie alternative complémentaire standard tandis qu’on a ajouté du Biobran MGN-3 à celle des autres 96 patients sur une durée d’un an et demi.

Chez tous les patients on a mesuré l’activité des cellules NK pour voir la variation des paramètres immunitaires. Parallèlement on a procédé au contrôle de la qualité de survie chez tous les patients. L’activité des cellules NK était assez basse chez les patients ayant subi une intervention chirurgicale, par contre, chez les patients auxquels on avait administré le Biobran MGN-3, on a constaté un taux augmenté d’apotanase (survie plus longue), sachant que cet effet chez les patients a été d’autant plus élevé que l’était l’activité des cellules NK elle-même (Tableau n° 2). Ces constatations laissent supposer que le niveau de l’activité des cellules NK peut être considéré comme un indicateur pathologique dans le cas des types progressifs de cancer. Chez le groupe de patients auxquels on avait administré du Biobran MGN-3 une amélioration de la qualité de vie a été également observée.

Tableau n° 2: Relation entre le taux global de survie, l’activité des cellules NK et le taux de survie dans les 2 groupes suivis

Groupe Groupe Biobran Groupe témoin
Taux global de survie 52/96 (54.2%) 19/63 (33.9%)
Catégories en fonction de l’activité des celllules NK
inférieure à 19.9%
20%-40%
supérieure à 40%

17/40 (42.5%)**
18/35 (51.4%)*
17/21 (81.0%)

2/16 (12.5%)
7/25 (28.0%)
10/15 (66.7%)

% de l’importance par rapport au groupe témoin **p<0.01 *p<0.05

Takahara K. (Clinique de chirurgie de Sano, JAPON) : Résumé de la 3e rencontre annuelle de la Société japonaise de traitement et de médecine alternative complémentaire, 2000

(b) Effets immunomodulaires et anticancéreux du Biobran MGN-3 chez 5 patientes atteintes de cancer du sein

Cinq patientes atteintes de cancer du sein ont absorbé du Biobran MGN-3 à raison de 3 g par jour puis l’activité des cellules NK sur les cellules-cibles cancéreuses de la lignée K562 a été mesurée par le test 51Cr-EDTA. Les résultats en ont été les suivants:

  • Dans le cas de bas niveaux de l’activité de base des cellules NK (12,7 – 58,3 %) et de rapports effecteur/cible de 12 et 100:1, lors du traitement au Biobran, l’activité des cellules NK a augmenté chez les patientes de façon importante (41,8 – 89,5 %) tandis que les rapports effecteur/cible sont restés inchangés.
  • Une activité augmentée des cellules NK a été observée déjà au bout de 1-2 semaines après le début du traitement et a continué de croître avec la poursuite du traitement au Biobran MGN-3.
  • Deux patientes qui avaient participé à l’étude dès le début (elles se sont soignées 6-8 mois) sont en état de rémission complète.

Ghoneum M. (Université Ch. R. Drew, États-Unis) : Recueil de la conférence extraordinaire de l’association américaine pour la recherche sur le cancer, 1995

(c) Effet immunomodulaire de l’arabinoxylane modifié de son de riz contenu dans le Biobran MGN-3 sur les cellules NK d’un groupe de 27 patients oncologiques

On a étudié l’effet immunomodulaire du Biobran MGN-3 chez 27 patients oncologiques. Les patients souffraient de différents types de malignités de stade avancé : 7 patients avaient le cancer du sein, 7 le cancer de la prostate, 8 un myélome multiple, 3 la leucémie et 2 le cancer du col de l’utérus. Tous les patients ont subi un traitement conventionnel qui a été complété par le produit Biobran MGN-3 d’une dose de 3 g par jour,puis on a examiné l’activité des cellules NK après 2 semaines, 3 mois et 6 mois. L’activité des celllules NK a été mesurée par le test 51Cr-EDTA et on a utilisé les cellules tumorales de la lignée K562 comme cellules cibles, avec des rapports effecteur/cible de 12:1 à 100:1. Les résultats ont donné les indications suivantes

  • L’activité de base des cellules NK enregistrée chez les patients était de bas niveau.
  • Le traitement au Biobran MGN-3 a causé une augmentation importante de l’activité des cellules NK déjà au bout de 2 semaines. Les taux d’induction de l’activité chez les différents types de cancer étaient les suivants : cancer du sein 154-332 %, de la prostate 174-385 %, leucémie 100-240 %, myélome multiple 100-537 % et col de l’utérus 100-275 %.
  • L’activité des cellules NK n’a cessé d’augmenter même après 3 et 6 mois de traitement.

Ghoneum M. (Université Ch. R. Drew, États-Unis): Résumé de la 87e rencontre annuelle de l’Association américaine de recherche sur le cancer, 1996

(d) Cas de traitement complémentaire du cancer métastatique des poumons à l’aide du Biobran MGN-3

Ce rapport présente le cas où de bons résultats ont été obtenus après l’application du complément Biobran MGN-3 chez un patient souffrant de cancer métastatique des poumons atteignant les os sur une grande étendue.

Le patient était un homme âgé de 67 ans. Il est allé trouver le médecin en août 1996 à cause d’une baisse brutale de poids et une forte toux grasse. C’est alors qu’on lui adiagnostiqué un cancer des poumons (carcinome squameux) assorti d’une tuberculose (M. tuberculosis).Après un traitement à l’antibiotique pour soigner en priorité la tuberculose, le patient a suivi une série de rayonnements.En décembre de la même année il a subi l’ablation de la moitié inférieure du poumon droit affecté par la tumeur. Après la radiothérapie le patient a quitté l’hôpital en janvier 1997.

En juin de cette année-là, le patient revient chez son médecin en se plaignant de douleurs dans la poitrine côté droit. Une scintigraphie osseuse a confirmé en présence de nombreuses métastases osseuses. La tumeur s’est étendue principalement dans les côtes du côté droit, mais le tissu osseux de tout le corps était pratiquement touché. En juillet un traitement analgésique morphinique en forme retard a été mis en place. Entre temps, fin mai, un traitement au Biobran MGN-3 a été entamé à raison d’une dose de 3 g par jour. Les douleurs ont commencé à diminuer à partir de janvier 1998. On a progressivement réduit la dose de morphine en forme retard jusqu’à l’arrêter complètement pendant l’administration continue du Biobran MGN-3. Le marqueur tumoral ICPP était de 16,8 ng/ml au moment de la confirmation du retour de la maladie ; en décembre 1997 il avait baissé progressivement à 7,6 ng/ml puis jusqu’à 6,7 ng/ml en juin 1998. La scintigraphie osseuse a montré une nette amélioration et a confirmé que la propagation de la tumeur était en régression. Le niveau de l’activité des cellules NK, au moment du retour de la maladie, représentait un taux de 9,0 % ; celui-ci a augmenté petit-à-petit  jusqu’à se maintenir actuellement à un haut niveau.

Sobajima T. (HôpitalHoshigaoka Kosei Nenkin, JAPON) : Résumé de la 2e rencontre annuelle de la Société japonaise pour les traitement et médecine alternatifs et complémentaires, 1999

(e) Application du produit Biobran MGN-3 après traitement conventionnel

Le traitement de tumeur dormante devient au Japon un concept thérapeutique majeur dans l’approche du cancer. Le but principal d’une telle thérapie est de prolonger la survie du patient et en même temps d’assurer une haute qualité de vie. Le Dr. Tunekawala prescrit aux patients qui la souhaitent sachant qu’il considère l’amélioration de la qualité de vie comme un but thérapeutique important. Dans son rapport, il indique avoir quatre patients atteints de cancer auxquels il applique une combinaison de chimiothérapie (pour inhiber la tumeur dormante) et de traitement alternatif et complémentaire, et il décrit le mode thérapeutique mis en oeuvre chez trois d’entre eux :

  • Patients (maladies principales) : cancer de l’estomac chez 3 d’entre eux, cancer du poumon chez 3, lymphome malin chez 2, cancer du gros intestin (partie rectale) chez 6, cancer du sein chez 3 et autres types de cancer chez 17
  • Durée de traitement : 6-18 mois
  • Études éventuelles
  • iv. T.S. (60), femme, cancer de l’estomac (stade IV), inflammation carcionomateuse du bas du péritoine : tumeur squirrheuse de l’estomac opérée en janvier 2000. En février 2000 gastrectomie suite au développement d’une inflammation carcinomateuse du péritoine de stade IV. Le CA19-9 était de 108. En août 2000 la patiente se rend à notre clinique en se plaignant de douleurs dans le ventre, de constipation, d’anémie et d’anorexie. Le CA19-9 était alors de 390 et l’activité des cellules NK de 25,6. On lui a prescrit une combinaison de chimiothérapie (TS1) et de traitement holistique. Pour améliorer son immunité on lui a administré du Biobran MGN-3 à raison de 3 g par jour. Un mois plus tard la valeur CA19-9 était de 63. Les valeurs des marqueurs tumoraux ont diminué progressivement et l’activité des cellules NK a augmenté. En août 2001, 11 mois après, la valeur CA19-9 était de 25 et celle de l’activité des cellules NK de 51,5. Actuellement la patiente ne fait état de presque plus aucun symptôme subjectif et elle est bien nourrie.
  • v. F.A. (46), femme, cancer du sein, avec métastases dans les vertèbres lombaires et l’utérus : la patiente a subi l’ablation du sein en janvier 1998 et un traitement hormonal et anticancéreux lui a été prescrit. En mars 2001 on lui détecte des métastases dans les vertèbres lombaires et en avril dans l’utérus, à la suite de quoi une hysterectomie est effectuée en mai 2001. La patiente quitte l’hôpital avec un traitement au Taxol et Paraplatine. En juillet 2001 elle vient voir le Dr. Tunekawa avec des douleurs aux os. La valeur de CA 153, NCC-ST était de 439et celle de l’activité des cellules NK de 9,3. Elle continue d’être traitée au Paraplatine et commence une thérapie holistique auquel du Biobran MGN-3 a été ajouté pour améliorer l’immunité, et ce à raison d’une dose journalière de 3 g. Deux mois plus tard, la valeur du marqueur CA n’était plus que de 18, celle du NCC-ST de 28,9 et celle de l’activité des cellules NK de 22,0 et la douleur s’était estompée. Le niveau des marqueurs tumoraux de la patiente a continué de baisser constamment et celui de l’activité des cellules NK de monter. En juillet 2002 le niveau de CA était de 14, celui de NCC-ST de 3,2, celui de l’activité des cellules NK était de 59, la douleur a disparu complètement et les résultats de la scintigraphie osseuse étaient moins évidents. À l’heure actuelle, la patiente est bien alimentée et est heureuse de pouvoir jouer à nouveau aux percussions.

Tunekawa H. (Association Tokai pour la propagation de la médecine holistique, JAPON) : Résumé du workshop consacré au Biobran, Berlin, 2002

(f) Évaluation de l’effet du produit Biobran MGN-3 dans le traitement du cancer en progression

Le Dr. Mizukami a exprimenté le traitement au Biobran MGN-3 sur un échantillon de 97 patients atteints du cancer de types différents en stade de progression : cancers de l’estomac, du gros intestin, du sein, des poumons, du pancréas, du foie, du canal cholédoque, de l’oesophage, des ovaires, du col de l’utérus, de l’utérus, des reins, de la glande thyroïde, de la prostate, de la cavité buccale, myélome multiple, etc. Bien que les patients aient subi des interventions chirurgicales, de la chimiothérapie ou de la radiothérapie dans de grands hôpitaux, le pronostic de survie de la majorité d’entre eux était bien mauvais. Ils souffraient de métastases et de récidive et ils se sont donc résolus à venir à la clinique du Dr. Mizukami et essayer l’immunothérapie. Presque tous les patients auxquels le Biobran MGN-3 a été administré n’avaient plus de chimiothérapie ni de radiothérapie à ce moment-là. Après avoir été observés en clinique et avoir répondu à des questionnaires on a suivi de près leur qualité de survie. Chez tous les patients prenant du Biobran MGN-3 un phénomène commun a été constaté.

Dans plusieurs cas, la qualité de survie s’est améliorée de manière évidente chez les patients traités au Biobran MGN-3.Si l’on sait que la qualité de survie des patients atteints de cancer en stade avancé a tendance généralement à empirer au fur et à mesure que le temps passe, chez les patients ayant pris le Biobran MGN-3 cette tendance s’est avérée inverse et s’est même modifiée en survie plus longue et de bonne qualité, et de surcroît on a enregistré des cas de longue survie.

S’agissant de la qualité de survie, les points suivant sont été observés :

  • Bien que maîtriser de fortes douleurs n’est pas une chose simple et que chez les patients souffrant de cancer de stade avancé il n’existe pas d’autre solution souvent que d’avoir recours à la morphine, certains des patients à qui le Biobran MGN-3 a été administré n’ont plus eu besoin de morphine et d’autres patients qui continuaient à en prendre ont eu tendance à en faire réduire les doses.
  • Globalement on a noté une tendance plus faible de sentiment de faiblesse.
  • On a observé une tendance moindre à la perte d’appétit.
  • Tendance à pouvoir rester à la maison et se sentir relativement bien avant le décès.
  • Tendance juste avant la mort à conserver l’esprit clair et la capacité de communiquer avec la famille.

Le Dr. Mizukami a résumé ses observations en constatant que, pour lespatients souffrant de cancer de stade avancé, il est établi que la qualité de survie dans le cas de la prise de Biobran MGN-3 ne s’empire pas de façon aussi brutale, ce qui s’avère être un aspect important de l’approche du traitement du cancer pour l’avenir.

Mizukami O. (Institut de recherche en soutien à la santé et Fondation laïque New Life, JAPONSKO) : Résumé du workshop consacré au produit Biobran de Berlin, 2002

3.5. Effet sur l’apoptose

Le Biobran MGN-3 sensibilise les cellules T leucémiques humaines à l’apoptose induite par le récepteur de mort (CD95)

Dans cette étude on a examiné l’effet du Biobran MGN-3 sur l’apoptose induite par le récepteur de mort dans les cellules T leucémiques humaines de la lignée HUT 78. Les cellules HUT 78 ont d’abord été traitées au Biobran MGN-3 puis ont été incubées avec un anticorps agnostique du récepteur de mort (Fas, CD95). Le taux d’apoptose a été défini par cytométrie en flux FACScan en utilisant de l’iodure de propidium comme colorant. L’activation de la caspase 3, de la caspase 8 et de la caspase 9 a été déterminée par cytométrie en flux. Le potentiel sur la membrane mitochondriale a été mesuré à l’aide du FACScan avec du DIOC6 comme colorant. L’expression du CD95 et du BCI-2 a été mesurée à l’aide de la cytométrie en flux.

D’après les constatations, et en fonction de ses dosages, le Biobran MGN-3 augmente le taux d’apoptose induite par l’anti-CD95. Le taux accru de mort des cellules corrèle avec la croissance de dépolarisation du potentiel sur la membrane mitochondriale ainsi qu’avec l’activation accrue de caspase 3, caspase 8 et caspase 9. Le traitement au Biobran MGN-3 n’a pas eu d’impact sur le niveau d’expression du CD95, mais a causé une régulation négative de l’expression du BCI-2. Les résultats indiquent que le Biobran MGN-3 augmente la prédisposition du cancer à l’apoptose induite par les ligands de la mort, ce qui peut représenter un fait important pour la lutte anti-cancéreuse.

Ghoneum M. (Université Ch. R. Drew, USA) : Cancer Letter (Lettres oncologiques), 2003

3.6. Activation de défense vitale

(a) L’effet actif du Biobran MGN-3 sur l’élimination des radicaux d’oxygène

Le rapport fait référence à la recherche de l’effet scavenger du produit Biobran MGN-3 et deses fractions sur les radicaux d’oxygène. Le Biobran MGN-3 a été fractionné à l’aide de la colonne Sephadex G-25. Les différentes fractions ont été marquées d’après leur taille par les lettres L, M et S (L - poids moléculaire > 10000, M – poids moléculaire de 10000 à 3000, et S – poids moléculaire < 3,000).

L’effet scavenger des enzymes actifs a été évalué par la mesure de cet effet sur l’anion radical superoxyde (•O2), par la mesure de l’effet scavenger sur le radical hydroxyle provenant de la réaction de Fenton (•OH), ainsi que par celle de l’effet scavenger sur le radical hydroxyle généré par rayonnement ultraviolet.

Les résultats des mesures sont indiqués dans le tableau ci-dessous. Le meilleur résultat d’inhibition de la création de radical hydroxyle •OH généré par •O2 et rayonnement ulltraviolet a été obtenu par la fraction de Biobran marquée S (poids moléculaire le plus bas). Toutes les fractions du produit ont fait preuve d’un grand effet scavenger sur l’hydroxyle (•OH) généré par la réaction de Fenton. (Tableau n° 3)

Tableau n° 3

Effet scavenger du produit Biobran MGN-3 sur les radicaux oxygénés actifs (•O2 et •OH et •OH induit par UV)

Type d’oxygène actif et effet SOD Taux d’élimination de l’anion radical superoxyde (%) Effet SOD (superoxyde dismutase) (U/ml) Taux d’élimination du radical hydroxyle généré par UV (%)
20 2.0
(mg/ml)
0.2 20 2.0
(mg/ml)
0.2 20 2.0
(mg/ml)
0.2
BioB

BioB-L

BioB-M

BioB-S
64.6

39.9

49.5

90.4
23.0

10.4

15.6

68.1
4.4

0

0

26.4
7.6

5.0

7.2

70.5
0.9

0.8

1.4

15.7
0

0

0

2.6
94.9
(72.6)
97.2
(41.8)
97.0
(45.4)
96.5
(71.0
78.9
(35.9)
34.4
(16.5)
68.4
(9.9)
55.1
(54.9)
3.3
(11.5)
3.3
(1.0)
8.7
(3.9)
4.2
(19.6)

·O2:HPX-par réaction XOD,·OH: par réaction de Fenton ·OH généré par réaction UV:365nm,4×103J/m2/min×5

Tazawa K. (Université de Médecine et de Pharmacie de Toyama, JAPON) : Biotherapy (Biothérapie) Tôme 14, 2000

(b) Étude de base de l’influence du composé d’arabinoxylane (Biobran MGN-3) sur l’activation de la défense vitale

Dans cette étude rapportant une expérience faite sur les animaux on a observé l’impact du produit Biobran-MGN 3, son effet biophylatique sur le taux de survie après induction d’une sepsie mortelle au lipopolysaccharide (LPS).

Pour l’expérience on a utilisé des souris de souche BALB/c (mâles âgés de 5-7 semaines). Tous les deux jours pendant deux semaines, soit en tout sept fois, on a administré aux souris par sonde 20 mg/kg, voire 200 mg/kg de produit Biobran MGN-3 dilué dans un tampon phosphate salin (PBS) d’un volume de 0,5 ml. Les souris du groupe témoin ont obtenu 0,5 ml de PBS par voie orale à des intervalles identiques. Douze heures après la prise de la dernière dose orale, on a administré 200 µg LPS par voie intrapéritonéale dans le corps de chaque individu de la population de souris puis on a observé l’état des individus. Dans une autre expérience, on a administré 100 µg LPS dans le corps de chaque souris des deux groupes – groupe de Biobran et groupe témoin – par voie intrapéritonéale ; les souris ont été ensuite tuées par intervalles de 0, 2, 4 et 8 heures après l’administration du LPS et on leur a fait un prélèvement de sang périphérique du coeur. Après la séparation du sérum on a mesuré les valeurs de IL-6 et de TNF. L’activité du IL-6 a été mesurée en utilisant la lignée cellulaire B9 et l’activité de TNF par test biologique sur les cellulairesde la lignée WEHI164-13.

Comme l’on voit sur la Fig. 9, le taux de survie après l’administration de 200 µg de LPS,comparativement au groupe témoin, était bien meilleur dans les groupes d’individus auxquels on avait donné quotidiennement 20 mg/kg et 200 mg/kg de produit Biobran MGN-3 (groupe Biobran MGN-3 20mg/kg contre groupe témoin, p = 0,0456; groupe Biobran MGN-3 200 mg/kg contre groupe témoin, p = 0,0232, analyse par test de Mantel-Cox). Après l’administration de 100 µg LPS par individu des groupes auxquels on avait administré du Biobran MGN-3 chaque jour à raison de doses de 20 mg/kg et 200 mg/kg, toutes les souris ont survécu alors que, dans le groupe témoin, 3 sur 10 individus sont morts.

Afin de dévoiler le mécanisme qui explique le taux d’amélioration de la survie dans le groupe de Biobran MGN-3 on a mesuré la concentration de IL-6 et TNF dans le sang. Dans le groupe auquel on avait administré du Biobran MGN-3, la concentration de IL-6 dans le sang au bout de deux heures après l’administration du Biobran MGN-3 était beaucoup plus faible que dans le groupe témoin (groupe témoin 702,9 ± 24,7 ng/ml, groupe Biobran MGN-3 403,1 ± 59,6 ng/ml; p < 0.01), mais 8 heures après l’administration a augmenté nettement (groupe témoin 88,5 ± 50,0 ng/ml, groupe Biobran MGN-3 441,0 ± 115,0 ng/ml ; p < 0.05). La concentration de TNF dans le sang a augmenté de manière importante 4 heures après l’administration du LPS dans le groupe Biobran MGN-3 comparativement au groupe témoin (groupe témoin 492 ± 187, groupe Biobran MGN-3 1816 ± 307 pg/ml; p < 0.01).

Dans le modèle expérimental de sepsie mortelle induite par le LPS on a supposé qu’une grande partie des cytokines pro-inflammatoires (IL-1, 6, TNF-α) libérés des cellules du système réticulo-endothélial dans tout l’organisme causait la défaillance de nombreux organes provoquant ainsi la mort. Dans cette étude cependant, dans le groupe auquel on a administré du Biobran MGN-3, on a observé une augmentation importante du taux de survie. Ceci s’explique peut-être par le fait que le produit Biobran MGN-3 inhibe la création de cytokines histotoxiques produites par les macrophages ou ou encore que le Biobran MGN-3 bloque la voie à l’histotoxicité au niveau des cellules-cibles.

Sudo N., Kubo C. (Université de Kyushu, JAPON) : The Japanese Journal of Clinical and Experimental Medicine (Journal japonais de la médecine expérimentale et clinique), Tôme 78, 1, 2001

(c) Réduction de la masse corporelle chez les souris après l’administration de Cisplatine grâce au Biobran MGN-3.

Dans le traitement du cancer, les médicaments contenant du platine provoquent souvent de graves effets secondaires tels que les nausées, les vomissements, la néphropathie et l’hypomagnésie, causés par l’endommagement des tubules rénaux (Lajer & Dangaard 1999), tels que également la perte de l’ouïe, la neuropathie périphérique et la myélosuppression qui est l’un des effets secondaires les plus dévastateurs (Prestayko et coll. 1979) qui conduit à l’affaiblissement de l’immunité.Toute possibilité d’empêchement du développement des effets secondaires du cisplatine est donc la bienvenue et fortement appréciée. Nous nous sommes efforcés d’examiner l’impact du Biobran MGN-3 sur la réduction de la perte de poids chez les souris auxquelles on a administré la dose maximale tolérable de cisplatine.

Une semaine avant l’administration de cisplatine nous avons commencé celle de Biobran MGN-3 aux souris des deux groupes, et à raison de doses de 10 mg/ml (matière sèche) dans l’eau, voire par injection intrapéritonéale de 0,1 ml dans laquelle une dose équivalente de produit a été diluée dans un tampon salin (PBS). La dose de 1 mg par individu a été calculée à partir de la dose humaine recommandée (50 mg/kg). Le cisplatine d’une quantité de 15 mg/kg a été administré par voie intrapéritonéale dans 0,1 ml de tampon salin (PBS) contenant 0,5 % d’acide dimercaptosuccinique(DMSO) comme porteur. On a administré de l’eau par sonde, voire du PBS par voie intrapéritonéale aux deux groupes de souris et, une semaine après, du cisplatine également aux deux groupes.

Une réduction de poids a été enregistrée dès le lendemain de l’administration par injection péritonéale du cisplatine sur les deux groupes, que ce soit le groupe avec Biobran MGN-3 ou celui sans Biobran MGN-3. La plus grosse perte a été notée le 5e jour après l’administration du cisplatinedans les deux groupes, que ce soit avec ou sans Biobran, que le produit ait été administré oralement ou par voie intrapéritonéale. La perte la plus importante de poids a été notée chez les souris qui ont obtenu le cisplatine sans le produit Biobran MGN-3. Bien que la perte de poids chez les souris auxquelles le Biobran MGN-3 a été administré s’approchait des 20% observés chez les souris des groupes ayant obtenu du cisplatine sans Biobran MGN-3, il y a lieu de constater qu’aucune souris n’est morte dans ce groupe, qu’aucune d’entre elles n’a eu de diarrhée ou de sang dans les excréments – effets secondaires habituels de l’administration du cisplatine. Dans laphase de convalescence, comparativement aux groupes sans Biobran MGN-3, les souris des groupes au Biobran ont repris du poids plus rapidement.

Figure 10 Fig. 10 Légende : profil du poids des souris (en %)

Figure 11 Fig. 11

Endo Y., Kanbayashi H. (UniversitéMac Master, CANADA) : Pharmacology and Toxicology (Pharmacologie et toxicologie), 2003

(d) Influence du produit Biobran MGN-3 sur la toxicité induite par cisplatine et adriamycine chez les rats

Le Biobran MGN-3 est un dérivé du son de riz fabriqué par hydrolyse partielle de fractions de fibre de riz solubles dans l’eau par carbohydrases du champignon lentinus edodes [Brevet USAn°5560914]. Il a été démontré que le Biobran MGN-3 est un modificateur de réponse biologique provoquant chez les patients à l’immunité affaiblie une augmentation de l’activité des cellules NK [Int. J. Immunother. 14 (1) 1998].

Objectif: par l’administration quotidienne de Biobran MGN-3 à raison de 5, voire 50 mg/kg, prévenir les changements pathologiques graves et la perte de poids liés à l’administration d’une seule dose de cisplatine (CIS), voire d’adriamycine (ADR). Après 13 jours d’acclimatation, on a choisi des rats mâles de souche Spaque-Dawley d’après leur poids puis on les a répartis en huit groupes de 10 individus (doses indiquées en mg/ml):

  1. Biobran 5 mg p.o.+porteur i.p.
  2. Biobran 50 mg p.o.+porteuri.p.
  3. Groupe témoin p.o.+CIS 8mg i.p.
  4. Biobran 5 mg p.o.+ CIS 8mg i.p.
  5. Biobran 50 mg p.o.+ CIS 8mg i.p.
  6. Groupe témoin p.o.+ADR 10mg i.p.
  7. Biobran 5 mg p.o.+ ADR 10mg i.p.
  8. Biobran 50 mg p.o.+ ADR 10mg i.p.

On a administré aux rats par voie orale (p.o.) du produit MGN-3 (dilué dans de l’eau distillée) et le porteur pendant 11 jours, quotidiennement. Chaque individu testé a obtenu le produit chimiothérapeutique ou porteur en une seule injection intrapéritonéale (i.p.) le 3e jour. Durant tous les 11 jours, chaque jour, on a suivi les symptômes cliniques sur les rats. Leur poids a été mesuré tous les deux jours. Le 11e jour les animaux ont été euthanasiés par inhalation de CO2 puis autopsiés. Les organes principaux ont été vérifiés et les dommages subis par l’appareil gastro-intestinal ont été notés.

Résultats: Entre le 7e et le 11e jour cinq rats du 3e groupe, trois du 5e et un du 4e sont morts. Les rats auxquels on avait administré uniquement du Biobran MGN-3 à raison de doses de 5 ou 50 mg/kg p.o. ont été marqués par une hausse importante de leur poids (+72%). Les rats auxquels on n’avait administré que du CIS ou de l’ADR ont enregistré une petite augmentation de poids (-1,5% chez le groupe CIS et +30% chez le groupe  ADR). Les rats ayant obtenu 5 ou 50 mg de Biobran MGN-3 plus CIS ou ADR ont montré une prise de poids bien plus importante que les rats n’ayant obtenu que du produit chimiothérapeutique (+11% chez le groupe Biobran MGN-3 5 mg + CIS et +46% chez le groupe + ADR). Dans le groupe Biobran MGN-3 50 mg + CIS la hausse de poids a été de +44%,et dans le groupe Biobran MGN-350 mg + ADR +43%. Comparativement au groupe de rats qui n’ont obtenu que du CIS ou de l’ADR sans Biobran MGN-3, les rats survivants auxquels on avait administré du Biobran MGN-3 semblaient plus sains, prenaient du poids et on a aussi enregistré une apparition moindre de pathologies intestinales graves.

Tableau n° 4: Effet du produit Biobran sur la perte de poids corporel induite par le cisplatine et la doxorubicine

Thérapie (par voie intrapéritonéale dans tous les cas) Jour 0 Jour 3 Jour 5 Jour 7 Jour 9 Jour 11
5mg/kg p.o.+porteur
50mg/kg p.o.+ porteur
Groupe témoin p.o.+Cp8mg/kg
5mg/kg p.o.+Cp8mg/kg
50mg/kg p.o.+Cp8mg/kg
Groupe témoin p.o.+Dx10mg/kg
5mgn/kg p.o.+Dx10mg/kg
100
100
103
99
101
103
101
101
100
98
101
99
99
100
100
101
100
100
82
85
92
88
92
92
100
97
69
76
90
82
89
87
100
97
55
68
85
77
86
85
100
97
57
65
84
76
85
83

p.o.-par voie orale, Dx-doxorubicine, Cp-cisplatine

Jacoby H. I. (USA) : Journal of Nuturaceuticals, Function & Medical Foods (Journal de nutraceutiques et aliments fonctionnels), tôme 3 (4) 2001

(e) Effet du Biobran MGN-3 sur la toxicité induite par radiothérapie chez les souris

Cette étude avait pour objectif d’observer l’effet modificateur du produit Biobran MGN-3 sur la radiosensibilité se manifestant par une diminution de la moëlle osseuse causée par le rayonnement global de l’organisme. Dans la perspective de l’éventuelle applicabilité en milieu clinique, les auteurs ont testé les effets du point de vue quantitatif à travers tout le spectre des doses de rayonnements de 4,5 à 8,5 Gy.

Pour les expériences on a utilisé des souris mâles âgées de 4 et 5 semaines de souche SPF BALB/c (groupeF2). Dans des groupes choisis, on a ajouté du Biobran MGN-3 à raison de 50 mg par kilogramme de masse corporelle à l’alimentation des souris. Les groupes étaient composés de 10 à 50 individus. Après deux jours d’acclimatation, on a ajouté du Biobran MGN-3 à l’alimentation des souris du groupe testé (F2). Au bout de 8 et 15 jours d’administration du Biobran MGN-3, les individus ont été soumis aux rayonnements. On a ensuite mesuré trois fois par semaine leur poids et chaque jour on a suivi la mortalité. Dans certains cas le Biobran MGN-3 a été administré deux semaines entières avant les rayonnements, dans d’autres l’administration du produit a été réalisée après les rayonnements.

Tandis que dans le groupe F2 les souris ont commencé à mourir en conséquence de la perte de moëlle osseuse dès le septième jour suivant les rayonnements, les souris des groupes auxquels le Biobran MGN-3 avait été additionné avaient tendance à périr un peu plus tard. La dose de LD50 (causant la mort d’au moins la moitié des animaux irradiés) était d’environ 5,15 Gy, sachant que le facteur de réduction de dose (DRF) était d’environ 1,14. S’agissant de la masse corporelle, dans les groupes Biobran MGN-3 on a observé une tendance au maintien du poids. Le début plus précoce de l’effet avec administration du produit Biobran MGN-3 indique qu’il vaut mieux commencer l’utilisation du produit avant le rayonnement.

La dose de rayonnement des souris au milieu de l’organisme a été calculée comme étant 1,21 fois plus élevée que les doses indiquées ci-dessus, ce qui signifie que la dose de LD50 chez les individus du groupe de contrôle était 6,23 Gy. Bien que l’effet radioprotecteur (DRF) du Biobran (qui était de 1,14) n’était pas très élevé, il convient d’ajouter que dans le cadre de toute cette étude aucun effet secondaire n’a été noté.

Nakatugawa S. (Université de Nagoya, JAPON) : The Report of Nagoya Univ. (Rapport de l’Université de Nagoya), 2003

(f) Effet du produit Biobran MGN-3 sur le dysdonctionnement du foie provoqué de manière expérimental chez les rats

Dans l’étude présente on a examiné l’effet du produit Biobran MGN-3 sur le dysfonctionnement du foie, concrètement sur le développement du dysfonctionnement du foie provoqué de manière expérimentale suite à l’administration de galactosamine (GaIN) et d’acétaminophène (AAP). La GaIN a été administrée dans les expériences n°1 à 3 et l’AAP dans les expériences n°4 et 5.

Dans l’expérience n°1, par voie intrapéritonéale, du produit Biobran MGN-3 a été administré aux rats sous différentes concentrations, puis une heure après on leur a injecté du GaIN à raison de 800 mg/kg.

Dans l’expérience n°2, par voie orale, on a administré du Biobran MGN-3 non fractionné et, par voie intrapéritonéale, fractionné de poids moléculaire haut et bas.

Dans l’expérience n°3, par voie intrapéritonéale, du Biobran MGN-3 a été administré après avoir été réchauffé, hydrolysé et filtré par résine échangeuse d’ions. Une heure après on a injecté du GaIN à raison de 800 mg/kg.

Dans l’expérience n°4, par voies intrapéritonéale et orale, on a administré du Biobran MGN-3 et une heure après on a injecté de l’AAP à raison de 700 mg/kg dans les organismes des rats.

Dans l’expérience n°5, par voie intrapéritonéale, du Biobran MGN-3 a été administré après avoir été réchauffé, hydrolysé et filtré par résine échangeuse d’ions. Une heure après on a injecté de l’AAP à raison de 500 mg/kg.

Dans toutes les expériences les animaux ont été euthanasiés 24 heures après les injections de GaIN et d’AAP et on a déterminé les valeurs de transaminase sérique (GOT, GPT).

Résultats

Expérience n°1: dans tous les groupes où l’on a administré le Biobran MGN-3, on a constaté que l’activité des GOT et GPT sériques provoquée par le dysfonctionnement du foie induit par la GaIN était très inhibée, comparativement à l’activité mesurée sur le groupe témoin. L’effet suppresseur du produit Biobran MGN-3 sur le dysfonctionnement du foie induit par la GaIN a atteint son summum à la dose de 20 mg/kget n’a plus augmenté avec l’utilisation de doses supérieures de Biobran MGN-3.

Expérience n°2: dans tous les groupes où l’on a administré le Biobran MGN-3, fractionné et non fractionné, que le poids moléculaire ait été plus élevé ou plus bas, on a assisté à une forte inhibition de l’augmentation de l’activité de la GPT sérique suite au dysfonctionnement du foie induit par la GaIN comparativement aux augmentations enregistrées dans le groupe témoin. Les effets suppresseurs du produit Biobran MGN-3 fractionné et non fractionné étaient similaires.

Expérience n°3: dans les groupes où on a administré du Biobran MGN-3 hydrolysé, on a assisté à une forte inhibition de l’augmentation de l’activité de la GOT sérique suite au dysfonctionnement du foie induit par la GaIN comparativement aux augmentations enregistrées dans le groupe témoin.

Expérience n°4 : dans les groupes où on a administré du Biobran MGN-3 par voies intrapéritonéale et orale, on a assisté à une forte inhibition de l’augmentation de l’activité de la GOT sérique suite au dysfonctionnement du foie induit par l’AAP comparativement aux augmentations enregistrées dans le groupe témoin.

Expérience n°5: des résultats semblables à ceux de l’expérience n°3 ont été obtenus avec le Biobran MGN-3 hydrolysé y compris après l’administration de l’AAP. Dans les groupes où on a administré du Biobran MGN-3 hydrolysé, on a assisté à une forte inhibition de l’augmentation de l’activité de la GOT sérique comparativement aux augmentations enregistrées dans le groupe témoin.

Ces expériences ont confirmé que le Biobran MGN-3 possédait des effets suppresseurs sur le dysfonctionnement du foie induit par la GaIN et l’AAP. La composante active HCI du produit, semble-t-il, n’hydrolyse pas.

Yamada T. (Université de Chiba, JAPON): Résumé de la 6e rencontre annuelle de l’Association japonaise de recherche sur la fibre alimentaire, 2002

(g) L’utilisation orale du produit Biobran MGN-3 réduit le syndrôme de rhume chez les personnes âgées

Chez les groupes à haut risque tels que les personnes âgées et les enfants, il est important de veiller aux mesures de prévention anti-infectieuses telles que la vaccination contre la grippe et surtout les mesures qui peuvent empêcher le développement d’infections bactériennes secondaires. Lors de l’étude, du point de vue de l’âge, de cas de pneumonies contractées dans le milieu qui se sont développées à partir d’une dégradation d’un rhume courant, on s’est rendu compte que le risque d’infection bactérienne secondaire était plus élevé chez les personnes âgées de plus de 75 ans. Le risque d’inflammation pulmonaire concomitante est également supérieur chez les patients âgés atteints de maladies neurologiques chez lesquels il y a un haut risque d’aspiration. C’est pourquoi notre recherche a été consacrée à l’apport clinique du produit Biobran MGN-3 en matière de prévention contre le développement du rhume courant chez les personnes âgées où la capacité de réaction immunitaire est réduite à cause de divers facteurs.

Parmi les clients soignés au centre médical „Atreyu Uozaki“ de Kobé, préfecture de Hyógó, un groupe de clients plus âgés qui ne souffraient d’aucune maladie grave et étaient d’accord pour participer à l’étude, a été choisi dans la période de janvier à mars 2002. On a testé le complément alimentaire, la fraction du produit Biobran MGN-3 (HRB), et dans le groupe témoin on a utilisé de la fibre de riz comprenant notamment des parties solubles dans l’eau (RB).

S’agissant des symptômes du rhume (fièvre, mal de tête, fatigue, tremblement, toux, glaires, écoulement du nez, nez bouché, mal de gorge, douleur de poitrine), on a calculé le nombre de jours durant lesquels on a observé ne serait-ce qu’un seul d’entre eux. Chaque symptôme a été évalué d’une note en fonction de son intensité (aucune manifestation = 0, manifestation faible = 1, moyenne = 2, forte = 3) puis, en faisant la division de la note totale de chacun des patients par le nombre de jours de prise de la substance testée, on a calculé son „score symptomatique de rhume“.

Résultats: parmi les différents symptômes, au début du traitement, la „toux“, la „fatigue“, et le „mal de gorge“ se manifestaient fortement. Dans le groupe HRB, le nombre total de jours pendant lesquels les symptômes se sont manifestés était, contrairement au groupe RB, plus petit. Dans le groupe RB, on a enregistré au total un score symptomatique de rhume plus élevé. Et bien que,dans le groupe RB, le score des „symtômes du nez“ était plus bas, celui des symptômes courants tels que „toux“, „fatigue“ et „fièvre“ était plus haut. On a donc tiré la conclusion que les symptômes de rhume courant étaient moins importants dans le groupe HRB.

L’étude a montré que lors de l’administration du HRB par voie orale chez les patients âgés souffrant de rhume courant, la durée de la manifestation des symptômes était plus réduite grâce à l’effet immunostimulant de l’extrait, les symptômes n’empiraient pas et il n’y avait donc pas autant besoin de traitement symptomatique.

Tazawa K. (Université de Pharmacie et de Médecine de Toyama, JAPON) : Journal de médecine traditionnelle, 20 (3), 2003

3.7. Effet anti-allergique

(a) Évaluation de l’effet préventif du produit Biobran Biobran MGN-3 et réduction des symptômes de l’asthme dans le modèle asthmatique murin

Dans cette étude, on a suivi l’effet préventif du Biobran MGN-3 et la réduction des symptômes de l’asthme sur le modèle murind’asthme induit par le diisocyanate de toluène(TDI).

On a d’abord préparé une solution d’eau potable et de Biobran MGN-3 de concentration de 2 g/litre que l’on a administré aux souris (femellles de souche BALB/c), divisées en 4 groupes (A-D):

Groupe A: le Biobran MGN-3 a été administré un mois avant, puis pendant la phase de sensibilisation au TDI et dans la période suivante.

Groupe B: le Biobran MGN-3 a été administré un mois avant, puis jusqu’à la fin de la phase de sensibilisation au TDI.

Groupe C: le Biobran MGN-3 n‘a été administré que pendant la période de sensibilisation au TDI.

Groupe D: groupe témoin.

Dans le groupe B on a évalué l’effet préventif et dans le groupe C l’effet de réduction des symptômes. L’effet du produit Biobran a été mesuré d’après les concentrations d’histamine dans le sang, le nombre d’éosinophiles dans le liquide de lavage broncho-alvéolaire (BALF), d’après le test d’application de TDI du pavillon auriculaire ainsi que d’après les valeurs d’antigènes selon les types spécifiques IgG1, IgG2a, IgEdans le sang pendant la sensibilisation.

Les plus fortes concentrations d’histamine dans le sang ont été mesurées 7 minutes après l’application de TDI comme suit : groupe A: 2.5±0.53, groupe B: 4.2±0.75, groupe C: 4.3±7.8, groupe D: 6.4±0.87 (ng/ml), autrement dit des valeurs nettement plus basses ont été enregistrées, par rapport au groupe témoin, là où le Biobran MGN-3 a été administré. Lors du test de la sensibilisation à diverses concentrations TDI (de 0,01à 10%) a assisté chez les groupes auxquels le Biobran MGN-3 a été administré, à une baisse jusqu’à 10-100 fois supérieure de la sensibilité par rapport au groupe de témoin. Par ailleurs, dans les groupes Biobran MGN-3, on a constaté des quantités nettement inférieures d’éosinophiles dans le BALF et aussi des valeurs plus réduites dans le test d’application de TDI. En revanche, aucune différence marquée entre les différents groupes n’a été notée en ce qui concerne les valeurs des antigènes dans le sang.

On en conclut que l’administration du produit Biobran MGN-3 agit de manière prouvée préventivement et réduit les symptômes de l’asthme sur le modèle murin d’asthme induit par le diisocyanate de toluène (TDI). L’étude indique également que le Biobran MGN-3 n’influe pas sur la création d’antigènes de type IgG1 ou IgE, induite par Th2, et que le produit fonctionne comme un facteur suppresseur vis-à-vis des mastocytes.

Kobayashi H., Endo Y. (Université Mc Master, CANADA) : Résumé de la 52e rencontre annuelle de la Société japonaise des allergologues, 2002

(b) Effet inhibiteur du produit Biobran MGN-3 sur la progression de la dermatite atopique chez les souris NC

Dans cette étude on a examiné l’effet immuno-régulateur du produit Biobran MGN-3 sur les souris NC chez lesquelles le niveau plus élevé de IgE dans le sérum évolue naturellement et des lésions de peau semblables à la dermatite se développent en réaction à la sensibilisation par ovalbumine (OVA). Le Biobran MGN-3 a été administré par voie orale à cinq souris NC qui ont été ensuite comparées avec le groupe témoin sans Biobran MGN-3. Les souris ont été ensuite sensibilisées à l’ovalbumine. Des échantillons sanguins ont été prélevés deux semaines avant et deux semaines après la sensibilisation. Les quantités totales d’IgE, y compris d’IgE spécifique de l’OVA dans les sérums, établies par le test ELISA ont été beaucoup plus basses chez les souris traitées au Biobran MGN-3 que chez les individus de groupe témoin. À part cela, tandis que chez les individus NC qui n’avaient pas reçu du Biobran MGN-3, des lésions dermales similaires à la dermatite atopique se sont développées, ces lésions ne sont pas apparues chez les cinq souris sur cinq traitées au produit Biobran MGN-3. On en conclut que le Biobran MGN-3 inhibe la progression de la dermatite atopique chez les souris NC.

Nonoyama S. (Université de médecine et stomatologie deTokio, JAPON) : Résumé de la 11e rencontre annuelle du Congrès international des immunologues, 2001

© Droits d‘auteur 2003: Hiroaki Maeda / Daiwa Pharmaceutical

(Remerciements pour l’autorisation de publier cet article sur le site Biobran.org.)

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